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Le bien-être et la santé
Pour l’Occident, une mauvaise santé vient d’un déséquilibre dû à un agent extérieur ; bactérien, viral, toxique chimique ou d’origine mutagène génétique. Le principe de la guérison est fondé sur l’élimination de cet agent par des moyens chimiques (médicaments, chimiothérapie) ou physiques (chirurgie, radiothérapie).
L’organisme est considéré comme un espace où de nombreuses réactions chimiques se succèdent dans un ordre précis. Globalement on admet que les échanges entre les molécules sont imposés par la diffusion de certains gradients. Les molécules réagissent entre elles car elles montrent des similitudes ou des complémentarités de forme spatiale, de chimie ou de charges électriques.
La maladie vient donc d’une altération de la séquence des réactions. Tous les aspects de ces anomalies sont envisageables ; génétique, croissance, immunité, reproduction. La maladie est localisée à un endroit précis de l’organisme ; il va falloir effectuer des corrections par des apports de produits chimiques se substituant aux insuffisances ou bloquant les processus. C’est la démarche des groupes pharmaceutiques.
Cette vision du vivant omet de considérer l’élément causal psychique ou émotionnel car celui-ci n’est pas mesurable par les cinq sens de base de l’être humain : il n’existe donc que ce que l’on voit ; la guérison vient suite à la destruction du malsain, le système est centripète, le malade est considéré comme une victime.
La médecine Orientale utilise la notion d’Energie (Qi ou Chi) qui est le fondement de cette Philosophie-Médecine. La mauvaise santé vient d’un déséquilibre de l’Energie interne de l’homme lui même suite à l’effraction de son enveloppe par une Energie extérieure « perverse » qui tente à le déstabiliser et lui prendre la place.
La personne est malade suite à son insuffisance biologique, psychique et spirituelle. La notion de globalité est primordiale, l’Homme est un tout. La guérison ne viendra qu’en chassant cette mauvaise énergie par la stimulation de son énergie propre ; c’est un processus centrifuge, le malade doit être acteur de sa propre guérison.
La biophysique, et notre approche en particulier, montre que la mauvaise santé est considérée comme un déséquilibre des échanges entre les cellules de l’être humain dans sa globalité.
On ne peut dissocier les êtres vivants de leur environnement et les considérer comme indépendants de ce qui les entoure. Au contraire, tous les éléments environnementaux ont une action directe ou indirecte sur le bien être. L’alimentation, la boisson, l’air ambiant, la lumière, les champs électromagnétiques, sont autant d’aspects du milieu de vie.
On ne peut pas résumer la vie à des réactions moléculaires, la physique quantique apporte de nouvelles informations concernant les échanges et le langage cellulaire. La physique précède la chimie au sens scientifique, l’atome précède la molécule. Ce sont bien les polarisations électriques membranaires des cellules qui permettent les échanges biochimiques. Dans tous les cas, les transports de charges s’effectuent en premier.
L’Homme est de nature électromagnétique; les récentes investigations vont dans ce sens. Les cellules ont la capacité de réagir à des champs électromagnétiques de très faible intensité. Elles transportent des informations, par émissions et réceptions, à différents niveaux de fréquences. Ces impulsions électromagnétiques ne peuvent être utilisées que par des cellules comportant des sites récepteurs spécialisés, résonants et jumelés.
Ces échanges, de nature électromagnétique, sont ensuite transformés en ordres d’action biochimique par les cellules. Des dysfonctions peuvent donc apparaître dans cette communication intercellulaire.
Les appareils et nos techniques uniques d’investigation permettent l’identification des dysfonctions fréquentielles et de corriger les messages altérés. En fonction du type et de la nature des fréquences, on pourra qualifier l’origine des désordres ; causes organiques ou/et émotionnelles. L’organisme, ainsi débarrassé de ces mauvaises informations, retrouvera naturellement son fonctionnement optimal dont il garde toujours la référence originelle.
La notion de bien-être
C’est un ressenti agréable comme étant la résultante d’un équilibre entre notre milieu intérieur ( physique, physiologique, psychique) et le milieu extérieur environnemental qui nous enveloppe (lieu, eau, air, lumière).
Ce ressenti est perçu comme un rythme de sensations nouvelles différentes du quotidien. La notion de bien-être est à la fois objective (liée au confort) et subjective (liée à nos propres sens). L’harmonie ressentie est un sentiment personnel d’équilibre et de nouveau dynamisme.
Le point de vue sur les déséquilibres
L’affection, la douleur, le désordre corporel, le symptôme, les états émotionnels, les dysfonctions organiques ou psychiques, les difficultés d’existence ne sont que des conséquences de mauvaises informations :
- matérielles en provenance de l’environnement (pesticides, champs électromagnétiques, toxiques multiples), de l’alimentation (air, eau, nourriture),
- des stress multiples (quotidien difficile, social, travail, avenir),
- émotionnelles (psychologiques, chocs émotionnels),
Ces dernières entrainent une altération des fréquences normales du langage cellulaire conçu comme un des véhicules de l’information de l’intégrité de l’organisme. Ne s’occuper que de ces conséquences limite le champ des possibles. Il faut rechercher la cause ou les causes qui ont placé l’organisme dans un état instable et vulnérable.
Les conséquences ne sont que l’aboutissement des compensations que l’organisme doit accomplir au travers de ce qui fait de chacun un être unique (base génétique, adaptation à l’environnement, évolution et croissance, terrain, possibilités réactionnelles). Les causes peuvent être multiples, se potentialiser mutuellement, et par effet cumulatif, dépasser les capacités de régulations naturelles possibles.
En savoir plus sur la Biorésonance
Le concept est utilisé en thérapie quantique pour effectuer des bilans de terrain par la détection et l’élimination de fréquences électromagnétiques perturbatrices mémorisées par l’organisme…